Les nouveautés de Septembre Octobre 2022 chez Billaudot éditions
Nous avons le plaisir de vous présenter les nouveautés de Septembre Octobre des éditions Billaudot
Four sax in Paris, de Gaetan Di Bacco, pour quatuor de saxophones, durée 9′ pour 3ème cycle
Four saxes in Paris est un hommage à George Gershwin et à son poème symphonique An american in Paris, duquel est tirée cette fantaisie, qui comprend 3 saxophones dans la partition orchestrale (alto, ténor et baryton qui jouent également 3 saxophones sopranos). Dans cet arrangement, le quatuor de saxophones parvient étonnamment à reproduire tout le “sound” et le “swing” de ce chef-d’œuvre : français dans la première partie, américain dans la seconde : les deux âmes du saxophone !
Mirages de Vincent David pour saxophone soprano et piano, durée 9’00 pour 3ème cycle spécialisé
Les 20 leçons de la méthode couvrent une année complète d’apprentissage et s’adressent à tous les âges et profils : élève d’un conservatoire, d’une école de musique, jeune ou adulte amateur, accompagné d’un professeur ou en totale autonomie
Saxiana Studio, 8 pièces contemporaines de moyenne difficulté pour saxophone Alto, pour 2ème cycle
Vitalité, Expression, Inventivité, Énergie sont les termes qui définissent le mieux ce nouveau volume de Saxiana. Toujours avec l’objectif de développer le répertoire pour saxophone, il est proposé ici huit compositions originales sous forme d’études musicales pour des élèves d’un niveau moyen (à partir de la seconde partie du cycle 2 d’études).
Huit compositeurs pour huit langages qui développeront chez le jeune musicien :
– le sens créatif avec What l did Over Summer Vacation de la compositrice américaine Lisa Bielawa,
– l’esprit ludique et fantaisiste avec Click Time de Jean-Baptiste Robin et Sans peur et sans reproche de Jean-Denis Michat,
– l’élan rythmique et fantasque avec Papa Westray du néerlandais Arnold Marinissen,
– le clin d’ œil jazzy et bluesy avec Yellow Blues de Michael Alizon et On Line de Franck Tortiller,
– l’expressivité théâtrale avec le monologue I am de Benoît Menut,
– l’art virtuose du phrasé «à la française» avec Un serpent qui danse de Karol Beffa.
Le plaisir est au rendez-vous de ces pièces qui dépassent le cadre pédagogique et deviennent de véritables miniatures de concert.